
Pour la Prunelle de ses Yeux
La ligne d’horizon hochait aux à -coups des pas du gentilhomme. Ses yeux rivés vers le bout de la route, il jetait de temps en temps de brefs regards à sa gauche ou sa droite, tentant de distinguer quelque chose dans le léger brouillard qui avait avalé cette route de campagne. Aucune calèche ne la longeait ; personne d’autre pour lui tenir compagnie autre que le blême soleil de ce ciel gris du pet...